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CBNEWS : Imprimé Papier : 45,4% des lecteurs prêts à se rendre en magasin après lecture

Par | Imprimés papier

45,4% des Français (et 45,1% des 15-24 ans) déclarent s’être rendus ou avoir eu l’intention de se rendre en magasin après la lecture d’ imprimé papier, selon des données collectées par la 7ème édition de l’étude BALmétrie*. 82% d’entre eux disent même relever quotidiennement le contenu de leur boite aux lettres. 66,9% à lisent chaque semaine un imprimé papier.  BALmétrie pointe par ailleurs des « effets partagés » entre le drive-to-store (23%) et le drive-to-web (21,2%). Cela est justifié par « la nature des marques et des dispositifs mis en place ». Là encore, note l’étude, ce sont les jeunes qui y sont le plus réactifs. De plus, il s’agit des 15-24 ans en particulier. 31,6% se sont rendus en magasin et 26,2% ont visité le site Internet de la marque ayant adressé un courrier.

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Article paru sur cbnews.fr

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L’EXPRESS : Pour séduire et expliquer, Nespresso mise sur le courrier papier

Par | Imprimés papier

Chez le fabricant de capsules de café, le courrier papier était jadis le principal canal du marketing. Aujourd’hui, la marque continue à l’utiliser pour transmettre certains messages et entretenir une relation client inspirée des codes du luxe. Toujours de façon ciblée.

Nespresso, une marque qui mise sur le courrier papier

Lorsque Nespresso fut créé en Suisse à la fin des années 1980, comme filiale de Nestlé, la marque n’avait ni boutiques, ni Internet à disposition. Mais déjà un positionnement : celui d’une marque exclusive, travaillant en direct avec les caféiculteurs, réunissant sa communauté de clients au sein d’un “Club Nespresso” et ne leur vendant ses capsules en aluminium qu’à distance, plutôt qu’en supermarché. “L’idée était de dire que pour bien parler de café, il fallait parler directement à chaque client, car le choix du café est un choix très personnel”, raconte Nathalie Gonzalez, directrice marketing et communication. Pour informer ses clients sur les “blends” (mélanges de café) concoctés par les experts maison, la marque leur envoyait des présentations détaillées sur courrier papier. Et prenait ensuite leurs commandes par téléphone. Une toute autre époque…

Trente ans et une révolution numérique plus tard, les clients de Nespresso peuvent s’informer sur les produits en ligne, commander en quelques clics sur le site ou l’appli, ou se rendre dans l’une des 650 boutiques ouvertes entre-temps dans le monde (dont 36 en France). De quoi avoir mis aux oubliettes le mailing papier ? Non : contre toute attente, la marque ne l’a pas abandonné. Elle en a même fait, aux côtés du digital et des boutiques, un élément clé de sa relation client, répondant à des usages et une stratégie bien précis. “Il y a un certain nombre de choses qui ne s’expriment bien que par courrier papier”, résume Nathalie Gonzalez.

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Article paru sur lentreprise.lexpress.fr

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Le retour en force du magasin

Par | Etudes & Marché, Imprimés papier

Depuis quelques années, des hypothèses émergent et prédisent une mort éventuelle du magasin physique au profit de l’e-commerce. A l’heure de la digitalisation, le magasin ne meurt pas, il se réinvente !

Le magasin physique se réinvente

Le magasin, toujours autant apprécié par les Français
Le commerce physique semble encore avoir de belles années devant lui et est toujours autant apprécié par les Français. Ainsi, d’après un sondage réalisé en 2015 par Ipsos, 72% des Français préfèrent acheter en magasin plutôt que sur Internet. D’ailleurs, 85% des consommateurs favorisent les magasins pour réaliser l’achat de produits de première nécessité.

Une étude, réalisée par The State of Retail en 2017, démontre que les clients sont encore méfiants quant à l’achat de produits coûteux sur des sites e-commerces. D’après cette étude, 56% des consommateurs préfèrent acheter des articles coûteux dans un magasin physique. En effet, au-delà d’un risque financier dans le cas d’un appareil défaillant, le client est réticent à l’idée d’acheter un appareil sur internet car il a peur de ne pas comprendre comment retourner ou réparer le produit en cas de problème. A contrario, si le même produit est acheté en magasin, le consommateur a la possibilité de le voir, de le toucher et de le tester, ce qui est un vecteur de réassurance pour le client.

L’humain au coeur des préoccupations

Selon The State of Retail, la disponibilité, le contact humain, l’expertise, l’écoute (citée par 90% des consommateurs), le conseil personnalisé et la possibilité de toucher le produit (cité par 85% des consommateurs),  de l’essayer ou d’évoluer dans l’univers de la marque, sont autant d’atouts plébiscités par les clients.

Enfin, une étude réalisée par Opinion Way pour la Paris Retail Week en 2017, affirme que 57% des Français et 70% des 18-24 ans souhaitent que les pure players comme Amazon, Vente Privée ou La Redoute ouvrent des magasins physiques. D’ailleurs, le développement des pop-up stores démontre bien cette tendance à revenir au brick & mortar. A titre d’exemple, le pure player Birchbox a lancé une boutique éphémère en 2014, avant d’ouvrir en avril 2017 son premier magasin à Paris.

Le magasin, véritable lieu de vie

Plus qu’un lieu d’achat, le magasin doit devenir un lieu de vie où les consommateurs vivent de véritables expériences. En 2017, 60% des 18-24 ans ont envie de magasins où ils peuvent faire autre chose qu’acheter. Ils souhaitent ainsi bénéficier de plus de divertissements, d’innovations. D’ailleurs, 33% d’entre eux souhaitent pouvoir trouver dans les magasins des espaces de restauration/café, des lieux de détente et de bien-être ou encore l’organisation de cours ou d’activités.

Et ça, les magasins l’ont bien compris. Nike propose, par exemple, des terrains de sport dans ses magasins. Samsung quant à lui, créé ses magasins comme des lieux d’expériences, suivant le modèle des parcs d’attractions.

Pour mettre en avant le savoir-faire des employés et renforcer l’attachement du client à la marque, les entreprises n’hésitent pas à développer des activités complémentaires en magasin. A titre d’exemple, les employés de la marque Lululemon Athletica, détaillant de vêtement de yoga, proposent des cours de yoga en magasin afin d’améliorer la relation client.

Les centres commerciaux se sont également emparés de cette tendance et offrent des espaces de détente, des aires de jeux pour les enfants ou encore des solutions pour recharger les téléphones portables ! Avec la mise en place de toutes ces solutions, on peut dire que l’on fait du shopping comme chez soi !

Le magasin, résolument centré autour du client
Le magasin bénéficie d’un atout majeur que les sites e-commerces ne peuvent concurrencer : le sensoriel. En effet, les Français aiment avoir la possibilité de toucher, sentir, tester un produit. Le sensoriel fait partie intégrante de l’expérience d’achat et peut être difficilement remplacé. Si aujourd’hui, de nouvelles technologies comme la réalité virtuelle permettent de représenter le produit “en situation”, pour certains achats comme les ensembles (chambre, cuisine…), les consommateurs préfèrent voir le produit en magasin pour pouvoir se projeter plus facilement.

L’expérience, clé pour attirer le consommateur

De nos jours, les consommateurs veulent vivre une expérience d’achat utile. En effet, il ne faut pas oublier que le magasin est la vitrine de la marque. Il permet d’établir une relation avec les clients. D’ailleurs, l’essor du marketing expérientiel le démontre. Cette approche vise à proposer une expérience unique au sein du magasin afin de susciter l’intérêt du client et d’accroître son engagement à la marque. En stimulant les sens des consommateurs lors de leurs achats, l’entreprise va pouvoir créer une expérience mémorable.

L’objectif est clair, les magasins doivent proposer une expérience unique aux consommateurs. Pour se faire, les magasins deviennent un espace d’émotions, d’histoires.

La personnalisation, outil marketing roi

La personnalisation devient le maître-mot ! En effet, de nos jours, chacun souhaite se sentir unique, tout en appartenant à un groupe référent. Suivant cette logique, le magasin Nike présent à New-York propose aux clients de personnaliser leurs baskets. Les clients peuvent également flasher les codes-barres des chaussures pour visualiser les différents coloris de la gamme, avant de les récupérer en magasin. Les clients peuvent ensuite essayer les différents modèles sélectionnés, avec l’aide d’un vendeur s’ils le souhaitent, puis procéder au paiement via Apple Pay pour une expérience sans friction.

D’après une étude réalisée par le cabinet L.E.K Consulting, 70% des consommateurs sont séduits par l’utilisation de la réalité virtuelle en magasin. Cela afin d’améliorer leurs expériences d’achat. Au-delà de l’expérience client, la réalité virtuelle permet aux magasins de présenter l’intégralité de leur offre. Pour illustrer ce propos, en 2017, Décathlon intègre la réalité virtuelle dans ses magasins et offre la possibilité à ses clients de tester les tentes Quechua. Grâce aux casques de réalité virtuelle, le consommateur est immergé dans trois univers virtuels (montagne, désert ou forêt). Il a alors la possibilité d’opter pour la tente de son choix. Cela lui permet de visualiser les caractéristiques de cette dernière, tout en changeant sa couleur et ses options. Il peut également circuler dans l’espace afin de simuler l’utilisation du produit.

Le phygital nouvel eldorado des marques

Depuis quelques années, on assiste à l’essor du click and collect. Ainsi, d’après une étude réalisée par Fevad/Csa, en 2016, 36% des internautes ont déjà utilisé le click and collect et 29% d’entre eux ont réalisé d’autres achats lors de leur visite en magasin. Cette tendance nous montre bien qu’au-delà d’être un mode de livraison, le click and collect est une façon d’attirer le consommateur en magasin.

Les nouvelles technologies permettent également aux magasins d’étendre leurs services. Ainsi, chez Célio, les consommateurs peuvent commander des articles indisponibles ou en rupture de stocks en magasin. Chez Uniqlo, un assistant virtuel aide les clients à choisir leurs vêtements en fonction de leurs goûts.

La digitalisation des magasins réhumanisent l’achat. En effet, le CRM permet de personnaliser les offres. Les tablettes permettent aux vendeurs d’accompagner le client dans son processus d’achat. Bref, les magasins ont tout à y gagner !

Les ventes online et in-store

De plus, les nouvelles technologies permettent aux marques d’homogénéiser leurs ventes online et in-store. Ces dernières disposent ainsi de toutes les datas nécessaires à la compréhension des parcours clients, des comportements face aux produits. Autant d’informations qu’elles peuvent utiliser pour maximiser leurs ventes en magasin. Amazon est l’exemple parfait de cette alliance. De ce fait, l’entreprise a mis en place dans son magasin new-yorkais des têtes de gondole composées des articles les plus vendus en ligne dans la région.

Enfin, les consommateurs sont de plus en plus partisans du ROPO (Research Online Purchase Offline). Ainsi,  en 2016, plus de neuf consommateurs sur dix ayant effectué un achat en commerce de proximité avaient au préalable réalisé une recherche en ligne.

Les magasins se transforment

Les magasins physiques se transforment en lieu de vie, en point de retrait ou encore en entrepôt. Le magasin est toujours bel et bien vivant et sa disparition, bien souvent annoncée, n’est pas d’actualité. De nos jours, la question n’est pas vraiment de savoir si internet éliminera ou non les magasins. Il s’agit plutôt de savoir comment les entreprises vont gérer la relation entre ces deux canaux de distribution. En bref, le magasin n’est pas mort, il se réinvente !

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Comme de multiples activités humaines, l’industrie papetière a une empreinte écologique.

5 idées reçues sur l’imprimé publicitaire !

Par | Imprimés papier

L’imprimé publicitaire est ancré dans le quotidien des français. En moyenne un français lit 6,9 courriers publicitaires par semaine (BALmétrie 2017).

Cependant, ce média souffre d’idées reçues sur le papier dont il convient de se défaire.

Préjugé n°1 : Le prospectus ne tient pas compte des enjeux environnementaux

Comme de multiples activités humaines, l’industrie papetière a une empreinte écologique. Cependant, le papier demeure un média responsable, recyclable et naturel. A ce propos, saviez-vous que l’industrie papetière est l’une des premières industries de recyclage ? (COPACEL)

D’après le rapport de suivi de la déclaration Européenne sur le recyclage du papier, réalisé en 2016, 72% du papier est recyclé. En 10 ans, le taux de récupération des produits usagés à base de papier et carton est passé de 46% à 72%.

L’industrie de la distribution d’imprimé publicitaire s’engage dans une démarche d’optimisation de son empreinte carbone. Pour cela, elle met en place un plan annuel d’actions concrètes : utilisation d’énergie verte, optimisation des flux de transports, programme de reforestation, tri des déchets…Autant d’actions qui ont permis de réduire les émissions de CO2 de 45% en presque 30 ans (Conf of Europ Paper Indus).

Hautement recyclable (5 à 7 fois), le papier est un acteur essentiel à l’économie circulaire. Fabriqué à partir de fibres recyclées et de fibres issues de forêts gérées durablement, le papier n’a pas d’impact sur la déforestation en Europe.

Produits en petit format, petit grammage, sans colle et sans vernis, les prospectus honorent les normes d’éco conception. De plus, grâce à la mise à jour régulière des référentiels de boîte-à-lettres (Modifications urbanistiques, Stop Pub), les quantités produites sont optimisées au plus juste afin de lutter contre tout gaspillage.

Préjugé n°2 : Les flyers ne sont utilisés que par la grande distribution

Faux ! La GSA et la GSS ne sont pas les seules à utiliser les flyers. Facile à mettre en place, le flyer est aussi accessible pour les petites et moyennes entreprises.

Ils permettent aux artisans et commerçants locaux d’accroître leur notoriété en ciblant avec précision les quartiers regroupant les consommateurs les plus réceptifs à leurs offres. Ainsi, 68% des français utilisent l’imprimé publicitaire pour choisir le magasin dans lequel aller effectuer leurs achats (Adrexo et IPSOS, 2016) et 2 français sur 3 choisissent un magasin en fonction des promotions et des offres commerciales reçues. (Adrexo et IPSOS, 2016)

Il s’agit donc d’une puissante alternative aux spots radio et TV qui restent bien souvent peu accessibles pour les TPE et PME.

Le prospectus est un vecteur de lien social. Il permet aux mairies et collectivités territoriales de se connecter avec leurs publics et de faire connaître les différentes actions et événements de la commune !

Avec le retour au local et l’essor de la consommation responsable comme acte d’engagement citoyen, les imprimés publicitaires participent d’autant plus au dynamisme de l’économie locale.

Ce support de communication est donc un levier important du développement de l’artisanat et des commerces locaux.

Préjugé n°3 : Personne ne lit les imprimés publicitaires. Ils vont directement à la poubelle !

Parce qu’elle demande une action volontaire, la lecture d’imprimé publicitaire est choisie. Il s’agit du seul média que les consommateurs emportent volontairement chez eux, qu’ils consultent à un moment privilégié et qui participe à la rédaction des listes de courses.

D’ailleurs, les lecteurs prennent plaisir à les lire et y consacrent en moyenne 38 minutes chaque semaine. 63% des français déclarent même que la lecture de prospectus est pour eux un moment de détente (Two Sides, Toluna 2017).

Preuve encore que l’imprimé publicitaire est un média désiré, 61% des jeunes ne souhaitent pas apposer de Stop-Pub sur leur boîte-à-lettres (Opinion Way pour Bonial, 2015). En effet, si une personne ne souhaite pas recevoir de flyers, cette dernière dépose un autocollant Stop-Pub sur sa boîte-à-lettres.

Or, si la boîte-à-lettres ne dispose pas d’un Stop Pub, cela signifie que la personne a fait le choix de recevoir des publicités et donc que cette dernière est réceptive au message, qu’elle lit à un moment choisi. Alors que 30% des internautes ont téléchargé un ad-blocker (bloqueur de publicité), une étude réalisée par BALmétrie montre que seuls 17% des français ont apposé un autocollant Stop-Pub. Cette étude montre bien que ce support de communication possède une véritable audience.

Le prospectus reste d’ailleurs un média très apprécié par les personnes âgées contribuant à la lutte contre l’isolement.

L’imprimé publicitaire est donc un média de proximité qui permet aux consommateurs de s’informer sur la vie de leur territoire.

Préjugé n°4 : L’imprimé publicitaire est un média vieillissant, qui ne plaît pas aux français

L’imprimé publicitaire est LE média du pouvoir d’achat. Il est indispensable à la vie quotidienne des consommateurs français qui le plébiscitent. 75% des français déclarent apprécier les prospectus et 86% d’entre eux sont sensibles aux promotions. (BALmétrie 2017).

Porteur de bons plans, d’informations et de promotions, grâce à lui les consommateurs sont au courant des bonnes affaires. 93% des français estiment que les flyers permettent d’avoir une vision rapide et complète des promotions. (IPSOS et Adrexo, 2016)

Il permet donc aux particuliers d’accroître leur pouvoir d’achat. Cela se fait en comparant les offres et promotions existantes. De ce fait, pour 84% des français les imprimés publicitaires permettent d’optimiser le budget du foyer et pour 82% d’entre eux, d’acheter malin. (Etude Adrexo et IPSOS, 2015)

70% des Français lisent des imprimés publicitaires chaque semaine et 76% d’entre eux sont des utilisateurs de bons de réductions (GIE BALmétrie, IPSOS, 2018).

Les échantillons, appréciés par 97% des français renforcent l’attractivité des prospectus auprès d’une cible définie. Ils offrent la possibilité de découvrir un produit inconnu. D’ailleurs, 68% des consommateurs se sont déjà rendus dans un magasin suite à la réception d’un échantillon.

Contrairement aux idées reçues, le flyer est également plébiscité par la nouvelle génération. Ainsi, selon une étude Balmétrie, 87,5% des 15-34 ans lisent au moins un imprimé publicitaire et 80% d’entre eux les conservent.

Ce média est globalement bien perçu et jugé utile par les Millennials. De ce fait, 4 jeunes sur 5 jugent la lecture de prospectus comme un moment de plaisir. Une étude réalisée par Adrexo montre qu’un jeune sur deux se dit « impatient » de lire des imprimés publicitaires. Curieux, ils aiment avoir la possibilité de voir les offres disponibles dans leur zone de chalandise. Il est donc important d’avoir un bon ciblage.

De plus, 85% d’entre eux voient dans le support papier une caution d’authenticité, en laquelle ils ont confiance. Le support papier est fixe, durable, fait référence… Il laisse des traces, il fait mémoire. Il offre un point de fixation de l’intérêt et apporte de la cohérence.

Préjugé n°5 : Le digital a tué le prospectus

Nous avons souvent tendance à opposer la communication papier et la communication digitale. Or, d’après une étude réalisée par l’Observatoire de l’association Culture Papier, 75% des français estiment que le papier et le numérique sont complémentaires. 85% d’entre eux, affirment même que l’utilisation combinée du papier et du digital permet de disposer de plus d’informations que sur un format seul (IFOP et Electrogeloz Power Print).

En effet, les prospectus et la communication digitale ne sont pas utilisés de manière distincte mais de façon complémentaire. De ce fait, l’imprimé publicitaire apporte aux consommateurs de l’information, annonce une promotion, fait découvrir un produit. Les sites internet quant à eux vont permettent d’avancer dans le choix du produit ou du lieu d’achat.

De plus,  le flyer est un excellent outil drive-to-web ! Selon une étude réalisée par Balmétrie, en 2018, 15,2% des français se sont déjà rendus ou ont eu l’intention de se rendre sur le site internet d’un annonceur à la suite de la réception d’une publicité.

La complémentarité média semble être une bonne alternative !

Le courrier publicitaire, filière économique et créatrice d’emplois

Le secteur d’activité des prospectus fait intervenir de nombreux métiers : fabrication, conception graphique, impression, diffusion, tri… Autant  d’emplois qui participent au développement des territoires.

En France, d’après l’Obs-Commédia, en 2016, la filière “création, impression, routage, transport, distribution” représente plus de 150 000 emplois. Pour sa seule activité, Adrexo emploi et forme plus de 17 000 distributeurs partout en France !

Le métier de distributeur, principalement occupé par des personnes à la recherche d’une activité complémentaire, permet d’offrir à une population peu qualifiée, un CDI à proximité de leur domicile.

Les imprimés publicitaires représentent également un soutien à la consommation, pilier essentiel de la croissance et donc de l’emploi

A l’heure de la digitalisation, nous pouvons penser que l’imprimé publicitaire n’est plus efficace auprès du grand public. Il serait délaissé au profit des moyens de communication digitaux. Or, le courrier publicitaire est un média puissant, responsable. Il est aimé des consommateurs et créé de l’emploi! Présent chaque jour dans près de 25 millions de foyers, le prospectus est un média indispensable. Il génère du trafic en magasin et sur les sites e-commerce.

C’est un média promotionnel et un média du pouvoir d’achat et des bons plans. Des millions de français attendent et apprécient l’imprimé publicitaire ! Il s’agit donc d’un média incontournable dans l’établissement d’un bon mix média !

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imprimé publicitaire

3 innovations qui révolutionnent le futur du papier !

Par | Imprimés papier

D’après l’étude Toluna, 86% des consommateurs français préfèrent le confort du courrier papier à celui de l’écran. De plus, 84% d’entre eux estiment qu’ils retiennent mieux les informations lues sur papier (Two Side Étude). Celui-ci n’est donc pas mort. Bien au contraire, il ne cesse d’évoluer au cours de ces dernières années.

A l’ère où les problématiques environnementales sont au cœur des débats, notamment dans l’univers professionnel, être « éco-responsable » devient le maître mot. La consommation de papier serait-elle vouer à évoluer pour s’engager dans une démarche de développement durable ?

Grâce aux multiples avancées technologiques effectuées dans le secteur de l’industrie papetière, plusieurs innovations s’offrent dans le choix des papiers pour mener à bien une politique d’achat éco-responsable ou bien pour, tout simplement, redorer l’image du courrier papier à l’ère du digital.

Aujourd’hui, nous vous présentons trois de ces innovations, qui vont révolutionner l’avenir du papier.

1. LE PAPIER RÉIMPRIMABLE

Conscientes des enjeux écologiques, les marques utilisent de plus en plus le papier recyclé. Une tendance forte qui devrait s’accroître aux cours des prochaines années. Des chercheurs du Laboratoire National Lawrence-Berkeley en Californie et de l’université de Shandong en Chine, ont mis au point un papier ré-imprimable plus de 80 fois.

Comment fonctionne-t-il ?

Ce nouveau procédé fonctionne uniquement à l’aide de lumière, plus besoin d’encre ! Pour se faire, il faut une feuille de papier classique, un mélange de nanoparticules et une lampe à UV.  La feuille est alors enduite du mélange avant d’être exposé aux rayons lumineux afin d’être “imprimée”. Au bout de 5 jours, le texte disparaît et la feuille devient réimprimable. Une véritable révolution !

En vue de démocratiser ce processus, ces mêmes chercheurs sont actuellement en train de développer une imprimante compatible qui permettrait de réaliser ces opérations plus rapidement et en couleur. En termes de tarif, le coût de sa production pourrait concurrencer le prix actuel du papier ! De ce fait, nous pourrions imaginer l’utilisation de ce procédé pour imprimer des informations temporaires (journaux, notes, emplois du temps, publicités…).

2. LA CHROMATOGÉNIE

Cette nouvelle technologie permet de rendre le carton et le papier résistants à l’eau et aux graisses. L’emballage reste même recyclable grâce à l’utilisation d’une faible quantité de molécules.

Véritable tournant dans l’industrie du courrier papier, ce nouveau procédé permet d’éviter au papier de se décomposer dans l’eau ou encore aux colis, restés sous la pluie par exemple, d’arriver abîmés chez le client.

III. LE PAPIER TACTILE : Une manière d’allier papier physique et nouvelles technologies digitales

Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon ont développé un procédé permettant de rendre le courrier papier sensible au toucher afin de le rendre interactif. Semblable à un écran tactile, il vous suffit d’un stylo ou bien de votre doigt pour dessiner des mots ou des images sur le papier qui apparaîtront ensuite sur votre écran d’ordinateur.

Ce type de papier peut également être utilisé pour héberger des icônes qui permettront, par la suite, aux utilisateurs de se rendre sur une page web par exemple en cliquant simplement sur l’icône.

Cette avancée technologie pourrait très bien, dans les prochaines années, être utilisée dans les journaux interactifs, les publicités ou même les copies de test des élèves… En termes de coût, une feuille coûte actuellement 0,30$. Avec une production à grande échelle, celui-ci pourrait être sensiblement diminué.

A titre d’exemple, Pizza Hut s’est déjà lancé dans l’expérience, en créant une boîte à Pizza convertible en platine DJ. Le principe est simple, une fois la boîte dépliée, le consommateur connecte la platine imprimé via Bluetooth. Devenu un véritable DJ, les enceintes de son téléphone vibrent alors au rythme de ses créations !

En bref, le papier n’a pas dit son dernier mot ! Le secteur a encore de belles années devant lui et ses acteurs qui le composent ne cessent d’innover. Ils proposent de nouveaux outils de communication adaptés aux consommateurs de plus en plus exigeants. Le courrier papier représente un réel atout pour les marques ainsi que pour les enseignes. Grâce à ces nouvelles technologies, celles-ci peuvent désormais s’encrer dans une démarche écoresponsable tout en conservant ce format tant aimé.

 

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https://adrexo.fr/boite-a-lettres/

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Adrexo

Adrexo à la conquête du marché du courrier adressé

Par | Imprimés papier

L’acquisition d’une licence postale, délivrée par l’ARCEP* en janvier 2017, a permis à Adrexo de diversifier ses activités en proposant un nouveau service à ses clients : la distribution de courrier publicitaire adressé.

Qu’est-ce que le courrier adressé ?

Le courrier publicitaire adressé est un courrier postal affranchi où l’on retrouve le nom ainsi que l’adresse du destinataire.

Pourquoi le courrier publicitaire adressé ? 

Fort d’un réseau déjà existant composé de plus de 17 000 distributeurs et de 250 centres logistiques dans l’hexagone, la distribution de courrier publicitaire s’est avérée être une évidence pour Adrexo, en complément de son offre de distribution de prospectus.

Aujourd’hui, la boîte-à-lettres est un véritable vecteur de bonnes nouvelles. Fini le temps où l’on recevait des factures, impôts ou autres courriers de gestion. Tout cela s’est complètement digitalisé ! Aujourd’hui, c’est l’envie d’une surprise, voire même l’impatience qui nous guide à ouvrir cette boîte-à-lettres. « Parce que, qu’est-ce qu’on y trouve aujourd’hui dans la boîte-à-lettres ? On y trouve la box beauté que l’on commande tous les mois. On  y trouve les courriers de nos marques préférées. Ce courrier publicitaire personnalisé qui ne s’adresse qu’à nous, avec des promos et des produits rien que pour nous. Donc cette boîte-à-lettres, c’est devenu un écrin. Un écrin à expérience. » Céline LETU TORTORICI, Directrice Marketing et Communication Adrexo, Retail Morning, 2018

Du courrier publicitaire personnalisé

Le courrier adressé comporte un grand nombre d’avantages. Tout d’abord, il s’agit d’un outil redoutable quant aux opérations de fidélisation. Il permet, de personnaliser au maximum les offres présentées. Une personnalisation, fortement appréciée par les consommateurs, qui facilite le déplacement en magasin et donc par la même occasion l’acte d’achat.

Grâce à la présence du nom du destinataire, le courrier adressé suscite une grande curiosité et une réelle appropriation de la part des consommateurs. Ce dernier a le sentiment d’être privilégié, recevant ainsi un message personnalisé. Cette personnalisation est pour lui un gage de reconnaissance et de proximité mais surtout un signe d’attention de la part de la marque. Accompagné d’un bon de réduction ou d’un échantillon, la satisfaction du consommateur sera optimale. Par ailleurs, les échantillons sont bien souvent ciblés en fonction des habitudes d’achat ou de consommation des clients.

Le courrier publicitaire adressé se distingue également par son caractère non-intrusif. En effet, les consommateurs peuvent les ouvrir et les lire quand bon leur semble. De plus, il s’agit d’un média de confiance, qui s’inscrit dans une relation au long terme entre le consommateur et la marque.

L’offre Adrexo de courrier publicitaire en boîte-à-lettres

Depuis cette année, Adrexo propose à ses clients une alternative postale, économique et traçable, pour expédier le courrier publicitaire adressé de ses clients. Grâce à des technologies de suivi et des partenariats avec différents prestataires (routeurs, centres éditiques, imprimeurs..), Adrexo a développé une offre tracée permettant d’actualiser en temps réel les différentes étapes de distribution pour une meilleure qualité de service.
Pour en savoir plus sur cette offre, cliquez ici

le courrier publicitaire adressé est un véritable vecteur d’émotion. Il est ciblé et s’accompagne d’une offre personnalisée ou d’un échantillon. Le consommateur se rappellera de l’offre. Cela aura pour conséquence d’accroître son envie de se rendre sur le point de vente et de réaliser un achat.

*ARCEP : Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes

 

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https://adrexo.fr/mon-courrier-malin-une-offre-de-courrier-adresse-destinee-a-tous-types-de-structures/

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étude de cas Mcdonalds

ADN : Et la génération qui mise le plus sur le papier est…

Par | Imprimés papier

Aujourd’hui, on lit le journal sur tablette et on poste une photo de ses vacances sur Instagram plutôt que d’envoyer des cartes postales. Mais le papier est loin d’avoir dit son dernier mot ! Un sondage Fedex Office révèle qu’à l’heure du numérique, l’imprimé publicitaire a toujours la cote.

La place du papier dans une ère digitalisée

Passer ou ne pas passer au tout digital, telle est la question. Les formats numériques se multiplient, les e-mails ont remplacé les lettres postales et certaines enseignes dématérialisent leurs tickets de caisse. Le monde des médias a particulièrement été bouleversé par la technologie et ils sont nombreux aujourd’hui à se construire d’abord sur le Web. Et pourtant, les consommateurs semblent encore très attachés à l’imprimé publicitaire. [LIRE LA SUITE]

Article paru sur ladn.eu.

Découvrez comment McDonald’s a utilisé les prospectus pour communiquer efficacement

http://ressources.adrexo.fr/etude-de-cas-prospectus-mcdonalds-restauration

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courrier publicitaire

GPO MAG : Quels sont les avantages d’un courrier adressé ?

Par | Imprimés papier

Adrexo est une entreprise spécialisée dans le domaine de la diffusion d’imprimés et de courriers publicitaires. Elle cumule aujourd’hui 35 ans d’expertise dans le domaine. Afin de répondre à une plus large demande, l’entreprise diversifie ses activités.

Elle réalise désormais du courrier adressé. Ce service offre de nombreux avantages pour l’expéditeur et pour le destinataire des courriers publicitaires. Il offre aux particuliers une alternatives efficace et avantageuse à l’envoi de courrier classique.

Une traçabilité optimale pour le suivi de courriers publicitaires

 

Une large présence nationale

Pour répondre à une demande importante, la société s’est diversifiée. Elle a dû pour cela augmenter ses effectifs et agrandir sa présence nationale. Elle renforce ainsi ses moyens humains. Aujourd’hui, elle compte 250 centres de distribution qui assurent quotidiennement les courriers publicitaires adressés. Le maillage territorial Français de la société est donc très puissant.

De plus, la société a su étendre son réseau de partenariats avec plusieurs prestataires différents comme des imprimeurs, des routeurs… Cela grâce notamment à sa forte expérience. Elle offre ainsi une solution clé en main pour les clients, mais également une solution économique. En effet, les prix pour un envoi courrier sont plus attractifs que les prix actuels du marché. Cette présence accrue sur le territoire facilité le suivi courrier. L’intelligence collective est une tendance forte dans les entreprises selon gataka.fr.

 

Une gestion de la distribution optimale des courriers publicitaires adressés

Choisir le courrier adressé permet d’obtenir un service alternatif à la distribution classique du courrier. En effet, avec celui-ci, il est possible de suivre de manière très précise le suivi courrier. La société est experte dans le domaine de la boîte aux lettres puisqu’elle enregistre 9 milliards de documents distribués en 2016.

Ainsi, lors de l’envoi courrier, celui-ci est réceptionné par un routeur partenaire. L’entreprise livre ensuite le colis adressé à un hub qui se charge de dispatcher les courriers dans les différents centres. Ainsi, le courrier est réparti selon les secteurs de distribution nationaux. Ce sont ensuite les 17 000 messagers qui effectuent la livraison du courrier adressé au domicile du destinataire. L’ensemble de ce processus est tracé pour permettre un suivi colis efficace. [LIRE LA SUITE]

Article paru sur gpomag.fr.

 

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expérience client en point de vente

Et demain ? Cap sur 2050 : histoire de l’évolution de l’expérience client en point de vente

Par | Etudes & Marché, Imprimés papier

Huitième et dernière chronique sur l’évolution de l’expérience client en point de vente de 1800 à 2050. Mon objectif est d’éclairer les lecteurs sur différents changements et innovations qui ont jalonné l’histoire du marketing en point de vente. Dans cette chronique non-exhaustive, je souhaite livrer quelques pistes et réflexions sur l’évolution de l’expérience client en point de vente.

En 2050, 9 milliards d’êtres humains et autant de défis !

En 2050, il y aura 9 milliards d’êtres humains dont deux-tiers de la population concentrée dans des villes de plus en plus grandes. L’innovation dans le retail va devoir répondre à de nombreux défis : l’évolution des tendances sociétales de la consommation, l’impact environnemental du modèle de la distribution et de la production mondiale, la raréfaction des ressources ou encore l’apparition de nouvelles technologies – et leur adaptation aux marchés – comme l’agriculture hydroponique, les imprimantes 3D ou encore l’intelligence artificielle qui envahit peu à peu l’univers de point de vente. Tout cela, sans compter sur les technologies qui ne sont pas encore matures ou qui n’existent pas encore !

Dans ce contexte, quelques pistes économiques devraient être étudiées pour les retailers. La relocalisation de la production semble par exemple inéluctable dans quelques années ; en effet, le lissage du coût de la main d’œuvre mondiale et l’automatisation grandissante réduisent l’attrait de la délocalisation. Cela sans compter sur le coût de la mobilité des marchandises. Ceux-ci augmentent financièrement (coût de l’énergie), aussi bien qu’écologiquement (empreinte carbone). Ces relocalisations devraient donc changer la manière de produire. De ce fait, elles devraient ainsi avoir un impact fort sur les circuits de distribution jusqu’en point de vente. D’autre part, une tendance forte semble émerger : la production à petite échelle … [LIRE LA SUITE]

Article paru sur siecledigital.fr

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point de vente

Comment les retailers optimisent leur trafic en point de ventes ?

Par | Etudes & Marché, Imprimés papier

Découvrez trois solutions utilisées par de nombreux retailers en France. Il s’agit d’optimiser leurs ventes physiques en point de ventes, cela grâce aux signaux des smartphones des consommateurs.

Les retailers s’attaquent à un gros sujet : l’optimisation du trafic du point de ventes. Ils le font déjà pour leurs sites Web où des solutions opèrent à force de cookies et de données “loguées”. Des capteurs placés dans les magasins collectent ainsi les signaux émis par les appareils mobiles des consommateurs. Ensuite, ils les renvoient à une plateforme équipée d’algorithmes qui les analyse en temps réel. Ce faisant, ces solutions – comme les françaises Occi, Fidzup, Retency et l’américaine RetailNext, délivrent à leurs clients détaillants de nombreuses statistiques. Celles-ci portent sur le comportement des consommateurs sur place. Il peut s’agir du taux de répétition, du parcours, des points d’arrêt mais également du temps passé par rayon, en caisse ou en cabine d’essayage, etc.

Ces informations permettent aux détaillants d’optimiser en temps réel le merchandising de point de vente. De plus, cela permet d’observer la réactivité de leurs équipes et les services proposés avec pour objectif de transformer les visiteurs en acheteurs. Les corrélations entre les différentes zones et parcours les plus empruntés permettent de définir les “points chauds”. Ceux-ci génèrent le plus de ventes, temps d’arrêt, ou ceux qui même étant visibles n’attirent pas l’attention des visiteurs. “Ce système permet d’envoyer des alertes en temps réel sur les lacunes, comme une attente trop longue en caisse”, explique Yves Benchimol, fondateur et CEO d’Occi.

Occi, qui équipe les Galeries Lafayette, Carrefour ou encore Auchan propose une solution. Celui-ci renseigne les équipes sur le profil des clients présents en magasin, leurs préférences d’achat ou encore leur dernière visite.  [LIRE LA SUITE]

Article paru sur journaldunet.com

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